Le Bangladesh s'étend du delta du Brahmapoutre aux collines près de la frontière avec le Myanmar. Le pays combine des structures historiques avec des paysages naturels qui conviennent à la photographie. À Dacca, des mosquées du XVIIe siècle se trouvent près de bâtiments du XXe siècle. La côte montre de longues plages de sable et de petites îles dans le golfe du Bengale. Dans le nord-est, les plantations de thé occupent des collines douces, tandis que les zones humides et les marais deviennent des paysages recouverts d'eau pendant la mousson. Des lieux comme le fort de Lalbagh et Ahsan Manzil documentent l'ère moghole et les influences coloniales dans la capitale. La mosquée aux Soixante Dômes à Bagerhat date du XVe siècle et montre l'architecture islamique ancienne de la région. Jatiyo Sangsad Bhaban, le bâtiment du parlement conçu par Louis Kahn, représente le design moderne. Des zones naturelles comme la forêt marécageuse de Ratargul ou les jardins de thé près de Srimangal offrent d'autres sujets. La plage de Cox's Bazar s'étend sur de nombreux kilomètres le long de la côte. L'île Saint-Martin se trouve plus au sud dans la mer. La vallée de Sajek dans les collines de Chittagong montre un terrain montagneux avec des vues sur des pentes boisées.
Cette forteresse moghole du 17e siècle se trouve dans la vieille ville de Dhaka et documente l'histoire coloniale précoce du Bangladesh. À l'intérieur des murs en brique se trouvent une mosquée, un palais et les vestiges d'anciens jardins avec des bassins d'eau. Les bâtiments présentent des éléments typiques de l'architecture moghole, notamment des passages voûtés et des façades ornées. Le fort n'a jamais été achevé, mais les structures conservées offrent un aperçu des techniques de construction de cette époque. Les visiteurs marchent sur des pelouses entretenues entre les bâtiments historiques et voient les restes des jardins aquatiques qui définissaient autrefois le terrain.
Cet ancien palais des Nawabs date de 1872 et sert aujourd'hui de musée d'histoire bengalie. Ahsan Manzil offre des aperçus sur la vie de la noblesse bengalie et documente le développement de la région. La façade rose et le dôme central façonnent l'apparence du bâtiment le long de la rivière Buriganga et en font un exemple d'architecture du 19e siècle à Dacca.
Cette mosquée du 15e siècle associe architecture islamique et bengalie. La salle de prière se trouve sous 60 coupoles soutenues par d'épaisses colonnes de pierre. Les murs présentent des décorations en terre cuite et des motifs géométriques, tandis que les corniches courbes reflètent le style architectural régional. Khan Jahan Ali fonda le complexe comme centre religieux pour la région. Aujourd'hui la mosquée attire les photographes qui documentent l'architecture historique et le jeu d'ombre et de lumière dans les salles de prière.
Cette plage de 30 kilomètres longe le golfe du Bengale et permet de photographier la mer ouverte aux côtés de forêts de mangrove côtières. Kuakata Sea Beach montre la diversité du littoral bangladais et documente la transition entre rivage et végétation. Les heures matinales amènent les pêcheurs vers l'eau, tandis que la lumière tardive met en valeur les structures des mangroves. La plage convient bien pour des photographies capturant différentes conditions lumineuses et textures naturelles.
Ce monument s'élève avec cinq colonnes blanches dans le centre de Dacca et rappelle les étudiants qui sont morts pendant les manifestations de 1952 pour la reconnaissance de la langue bengalie. Les colonnes se dressent sur une large plateforme qui s'étend sur plusieurs niveaux et est entourée d'espaces ouverts. Les visiteurs viennent ici pour honorer les événements qui ont conduit à la reconnaissance officielle du bengali. La conception simple et les lignes épurées reflètent la gravité de l'occasion. Lors des anniversaires les gens se rassemblent ici avec des fleurs et des couronnes. Le monument appartient aux symboles les plus importants de l'identité bengalie et documente un moment décisif dans l'histoire du pays.
Cette plage s'étend sur plus de 120 kilomètres le long de la côte du golfe du Bengale. L'océan rencontre un sable fin qui court loin dans les deux directions. Derrière le rivage, des hôtels et des restaurants s'alignent, attirant des visiteurs venus de différentes régions du pays. Tôt le matin et en fin d'après-midi, des promeneurs et des pêcheurs viennent au bord de l'eau. Les vagues sont douces, la lumière change au fil de la journée. Cox's Bazar montre le paysage côtier ouvert du Bangladesh et documente la rencontre entre la terre et la mer.
Cette mosquée du 18e siècle se trouve à Dacca et présente des mosaïques blanches provenant de Chine et du Japon. La décoration se compose d'étoiles et de motifs floraux qui recouvrent les murs, les coupoles et la cour. Le bâtiment associe l'architecture bengalie à des carreaux de céramique importés et documente les échanges culturels de cette époque au Bangladesh.
Cette région montagneuse longe la rivière Piyain à travers de douces pentes couvertes de jardins de thé. Le long du lit de la rivière, les gens ramassent des pierres arrondies dans l'eau claire, tandis que les collines des plaines Khasi encadrent l'horizon. Les plantations de thé s'étendent à travers la vallée, leurs rangées vertes suivent les contours du terrain. Au bord de la rivière, des rochers empilés s'élèvent en tas tirés de l'eau. Pêcheurs et ramasseurs de pierre se partagent l'espace, leurs activités rythment le lieu au fil des saisons.
Ce complexe de temples du 12ᵉ siècle présente plusieurs bâtiments avec une architecture bengalie traditionnelle et sert de lieu central pour les cérémonies hindoues. L'enceinte se trouve au cœur de Dhaka, combinant pratique religieuse et structures qui ont traversé les siècles. Les fidèles se rassemblent ici tandis que les visiteurs découvrent les ornements et l'ambiance des salles de prière. Les structures reflètent le savoir-faire qui a façonné l'architecture bengalie à travers les générations.
Ce bâtiment parlementaire utilise le béton et des formes géométriques pour créer un complexe gouvernemental monumental. L'architecture joue avec la lumière par des ouvertures circulaires et triangulaires dans les murs. Des surfaces d'eau entourent la structure et reflètent les formes massives. Le complexe a vu le jour durant la seconde moitié du XXe siècle et documente l'évolution de l'architecture bengalie après l'indépendance. La géométrie stricte et le matériau employé donnent au lieu une apparence factuelle.
Cette forêt marécageuse est une zone humide où les arbres poussent directement dans l'eau. Pendant la mousson, les niveaux d'eau montent tellement que les racines et les troncs disparaissent parfois plusieurs mètres sous la surface. La zone ne peut alors être traversée qu'en petits bateaux qui naviguent entre les cimes des arbres. Pendant la saison sèche, l'eau se retire et laisse apparaître le sol de la forêt. Les plantes et les arbres ici se sont adaptés à ces conditions changeantes, développant des racines qui sont inondées périodiquement puis s'assèchent à nouveau. La forêt marécageuse de Ratargul montre un type particulier de nature au Bangladesh, façonné par l'eau et le rythme des saisons.
Ce jardin botanique à Dacca conserve plus de 600 espèces de plantes provenant de différentes parties du monde et présente des orchidées indigènes. Le Baldha Garden offre des sentiers tranquilles parmi des arbres tropicaux, des étangs et des parterres de fleurs établis à la fin du 19e siècle. Les photographes trouvent une végétation dense, de petits pavillons et des surfaces d'eau qui filtrent la lumière et projettent des ombres.
Panam City conserve plus de 50 bâtiments du 19e siècle qui reflètent la domination coloniale britannique et le commerce de cette époque. Cette colonie abandonnée à Sonargaon servait autrefois de centre pour les marchands de textiles qui exportaient la mousseline et d'autres tissus du Bengale. Les maisons restent vides, leurs façades portent encore les traces de la période : arcs hauts, balcons étroits et cadres de fenêtres décorés. Pour les photographes au Bangladesh, ce site offre la possibilité de documenter l'architecture coloniale et le passage du temps dans un cadre calme et protégé.
Ce monastère du 8ᵉ siècle fut l'un des centres d'enseignement bouddhiste les plus importants de la région. L'enceinte couvre une grande superficie et montre le plan rectangulaire typique des institutions bouddhistes de cette période. Les murs extérieurs contiennent une longue série de cellules où les moines vivaient et étudiaient. Au centre se dresse une structure massive qui s'élève au-dessus des bâtiments environnants. Les briques rouges utilisées pour construire Somapura Monastery montrent encore le savoir-faire des bâtisseurs de l'époque. Le site donne une idée de la vie monastique il y a plus de mille ans.
Ce complexe de temples bouddhistes du VIIe siècle documente l'architecture et l'art de la dynastie Pala à travers ses plaques en terre cuite et ses sculptures en bronze conservées. Shalban Vihara montre le développement religieux et culturel du Bangladesh par des structures que les moines utilisaient pour la méditation et l'étude. Les ruines en brique se dressent parmi des champs ouverts et donnent un aperçu de la vie monastique d'il y a plus d'un millénaire.
Cette île abrite un troupeau de plusieurs milliers de cerfs et se déploie à travers un réseau de forêts de mangrove traversées par des voies navigables. Les conditions sur place conviennent bien à la photographie des oiseaux qui se posent dans les arbres et le long des canaux tranquilles. Le paysage change avec la marée, et la lumière parmi les racines de la mangrove donne à la scène une tonalité particulière. Nijhum Island se situe hors des itinéraires habituels et est visitée principalement par des personnes en quête de sujets naturels. Le silence et l'isolement façonnent le caractère du lieu.
Cette région autour de Srimangal produit une grande partie du thé du Bangladesh sur environ quatre-vingt-dix plantations. Les théiers poussent selon des motifs géométriques clairs qui s'étendent sur des collines douces. Les travailleurs cueillent les feuilles à la main, généralement tôt le matin quand l'air est encore frais. Entre les rangées se forment des sentiers étroits où l'on peut marcher à travers les champs verts. Les jardins de thé semblent ordonnés et calmes, avec l'ombre d'arbres occasionnels qui se dressent parmi les arbustes. On voit des bâtiments d'usine à proximité où les feuilles sont transformées. Le paysage montre l'importance de la culture du thé pour l'économie locale et la vie quotidienne des gens ici.
Cette ville marchande du XIXe siècle préserve les traces d'un passé colonial à travers ses structures de briques rouges. Cinquante-deux bâtiments bordent les rues de Panam City, tous construits pendant la période britannique. Les structures combinent des éléments architecturaux européens avec des techniques de construction locales. Beaucoup restent vides aujourd'hui, leurs façades montrent des fissures et des taches dues au temps et aux pluies de mousson. Les plantes poussent entre les maisons, se frayant un chemin par les fenêtres et les portes. Les photographes découvrent des sujets pleins d'histoire et de dégradation naturelle, où la lumière tombe par des toits brisés et les ombres remplissent de longs couloirs. Le site documente comment le commerce traversait autrefois Sonargaon, reliant les marchands bengalis aux routes commerciales internationales.
Cette zone forestière couvre 808 hectares et abrite 400 espèces végétales. Un temple hindou se dresse à 300 mètres d'altitude. Nature Reserve offre des sujets pour la photographie de nature et documente l'architecture religieuse du Bangladesh. La végétation change avec l'altitude, et des sentiers traversent différentes sections de la forêt. Les photographes trouvent ici l'occasion de capturer la flore régionale et les structures traditionnelles dans leur cadre naturel.
Cette zone humide s'étend sur Tanguar Haor et forme une mosaïque d'eaux peu profondes, d'îles et de tapis végétaux flottants. Des pêcheurs guident des barques étroites entre les canaux tandis que des oiseaux aquatiques nichent dans les zones de roseaux. Durant les mois plus frais, des oiseaux migrateurs arrivent de régions lointaines, et l'air se remplit de leurs appels. L'eau reflète les couleurs changeantes du ciel, et les communautés locales ont adapté leurs modes de vie aux rythmes des marées. Le paysage évolue avec les saisons, parfois large et ouvert, parfois encadré par une végétation dense, et offre aux photographes l'occasion de saisir l'interaction entre l'eau, la lumière et la vie.
Cette chute d'eau tombe d'environ 70 mètres sur plusieurs paliers rocheux et se trouve dans une zone avec des plantations de thé et des forêts subtropicales. L'eau forme de petits bassins entre les marches, et le chemin qui y mène suit des sentiers entourés de végétation verte. Les visiteurs viennent ici pour écouter le bruit de l'eau qui tombe et explorer les environs, surtout pendant la saison des pluies, quand le débit est le plus fort. L'air reste frais et humide grâce aux forêts proches.
Le Lawachara National Park s'étend sur 1250 hectares de forêt tropicale où gibbons et macaques se déplacent dans la canopée et plus de 240 espèces d'oiseaux trouvent refuge. Les sentiers serpentent à travers une végétation dense, longeant de grands arbres qui filtrent la lumière du soleil tandis que des bruits d'animaux résonnent de toutes parts. Ce parc offre l'occasion d'observer de près la faune et la flore du Bangladesh, d'explorer les différents habitats de la forêt tropicale et de découvrir le rythme d'un écosystème vivant.
Cette plage s'étend sur plus de 20 kilomètres le long du golfe du Bengale. Des blocs de béton longent la côte pour protéger le rivage de l'eau. Patenga Beach se trouve près de la ville portuaire et est fréquentée par les habitants pour se promener, surtout en fin d'après-midi. Le sable est large et ferme, et de petits stands de nourriture proposent des en-cas. On peut parfois apercevoir des bateaux au loin. La zone semble ouverte et venteuse, avec vue sur la mer. Cette plage offre une bonne occasion de photographier la vie quotidienne sur la côte bangladaise, où se rencontrent la mer, le port et la vie urbaine.
Ce lac de 336 hectares s'est formé en 1924 aux abords de Chittagong et sert aujourd'hui de destination aux familles et photographes. Le rivage relie les eaux ouvertes aux pentes boisées, tandis qu'un parc d'attractions et plusieurs restaurants bordent la promenade. Des bateaux traversent l'eau, surtout l'après-midi quand la lumière se reflète sur la surface. Pour la photographie au Bangladesh, Foy Lake montre le lien entre développement urbain et espaces naturels, avec des angles depuis le rivage ou depuis des points surélevés dans les collines environnantes.
La vallée de Sajek se trouve dans une région montagneuse à 1800 mètres d'altitude et offre des vues sur les sommets environnants, les pentes boisées et les vallées plus basses. Cet endroit attire les photographes qui souhaitent capturer la lumière changeante au lever du soleil et les nuages qui se déplacent entre les montagnes. De petits villages marquent le paysage, et les routes qui serpentent à travers les collines permettent différentes perspectives sur la région montagneuse du Bangladesh.
Bisnakandi se trouve à la frontière avec l'Inde, là où les ruisseaux de montagne des collines de Khasi se jettent dans les plaines. Cet emplacement au bord de la chaîne montagneuse crée un paysage de roches, d'eau courante et de conditions de lumière changeantes. Les pierres du lit de la rivière et la végétation environnante offrent des sujets pour la photographie de nature à travers différentes saisons et niveaux d'eau.
Cette île dans le golfe du Bengale se trouve à quelques heures de bateau du continent et offre des pierres de corail le long du rivage et des eaux tropicales. Les plages sont calmes et larges, bordées de palmiers le long de la côte. De petits villages de pêcheurs se dressent sur l'île, où les habitants mènent leur vie quotidienne dans des maisons simples. Le matin, les bateaux partent et les pêcheurs trient leur prise directement sur la plage. L'eau est chaude et peu profonde près du rivage, plus profonde au large. Le soir, les visiteurs se rassemblent sur la plage pour regarder le coucher du soleil sur la mer.
Ce temple du XVIIIe siècle présente des sculptures en terre cuite détaillées sur ses murs extérieurs. Les reliefs représentent des scènes tirées des épopées hindoues. Kantaji Temple se dresse sur une plateforme et attire les visiteurs explorant l'artisanat et l'architecture religieuse du Bangladesh.
Ce parc à Narayanganj offre aux photographes un mélange d'espaces verts et d'étangs naturels. La végétation pousse dense le long des chemins, tandis que les surfaces d'eau se trouvent entre les arbres et fournissent des sujets pour la photographie de paysage. Les visiteurs locaux utilisent le site régulièrement, ce qui crée des opportunités pour la photographie documentaire. L'entretien communautaire garde les chemins et installations accessibles.
Cette cascade à Moulvibazar a été découverte en 2010 et se trouve au cœur d'une zone boisée à la végétation dense. Hum Hum offre aux photographes des sujets tirés de la diversité naturelle du Bangladesh, où l'eau descend en plusieurs paliers entre les roches et les plantes tropicales. L'accès traverse des forêts et franchit des ruisseaux, soulignant l'emplacement isolé. Les environs montrent l'étendue géographique du pays, des plantations de thé à ces sites naturels cachés du Sylhet.
Cette mosquée a été achevée à la fin des années 1960 et combine des formes contemporaines avec des éléments islamiques traditionnels. La salle de prière accueille des dizaines de milliers de fidèles et sert de centre religieux dans la capitale. Les lignes épurées et la conception géométrique montrent l'évolution de l'architecture bengalie au cours du XXe siècle. Le bâtiment documente la transition entre structures historiques et constructions modernes au Bangladesh.
Cette colline atteint 760 mètres au-dessus du niveau de la mer et surplombe les vallées environnantes de Bandarban. La montée traverse des pentes boisées et des sentiers sinueux. Du sommet on aperçoit des plantations de thé et des villages lointains parmi les crêtes vertes. La brume matinale stagne souvent dans les creux. La végétation change avec l'altitude. Les photographes trouvent ici des sujets du paysage montagneux bengali sous une lumière changeante.
Le pont Shah Amanat relie depuis 2013 les deux rives de la rivière Karnaphuli, s'étendant sur 950 mètres. Ce pont routier documente l'évolution de l'infrastructure bengalie et offre aux photographes des perspectives sur la large rivière, le trafic maritime en contrebas et le paysage urbain de cette ville portuaire façonnée par ce passage moderne.
Ce parc est né comme jardin moghol au début du 17e siècle et a été remodelé sous la domination britannique au 19e siècle. Aujourd'hui il s'étend comme refuge vert au centre de Dhaka. De vieux figuiers, des arbres de pluie et des acajous offrent de l'ombre. Le matin viennent les joggeurs, l'après-midi les familles avec enfants. Un lac occupe le centre, entouré de pelouses entretenues. Ici et là se dressent des monuments qui rappellent différentes phases de l'histoire bengalie. L'endroit sert de point de rencontre et de décor pour des photographies qui capturent la vie quotidienne dans la ville parmi les arbres historiques et les surfaces d'eau calmes.
Ce chemin circulaire suit une étendue d'eau artificielle au cœur d'un quartier résidentiel. Les rives sont aménagées avec des bancs et des zones ombragées. Les gens viennent ici pour courir, marcher ou simplement se reposer au bord de l'eau. Le lac a été créé dans les années 1960 et relie désormais différentes parties du quartier. Le petit matin et la fin d'après-midi sont les moments les plus fréquentés. Pour les photographes au Bangladesh, le lac Dhanmondi offre des sujets calmes entre architecture urbaine et surfaces aquatiques.
Cette zone humide s'étend sur 18 000 hectares et abrite plus de 100 espèces de poissons et 558 espèces de plantes. Hakaluki Haor offre aux photographes un réseau d'eaux peu profondes, de lits de roseaux et de petites îles qui changent avec les saisons. Pendant la mousson, le paysage se transforme en un vaste lac, tandis qu'en saison sèche, les oiseaux aquatiques et les pêcheurs définissent les espaces ouverts.
Cette mosquée de Chittagong montre des motifs géométriques sur les murs et des carreaux colorés à l'intérieur. La salle de prière a de hauts plafonds avec des détails décoratifs qui reflètent l'artisanat bengali traditionnel. La mosquée Chandanpura documente l'architecture religieuse au Bangladesh.
Ce lac au cœur des collines de Chittagong s'étend sur une zone boisée où de petites îles et des criques étroites découpent le rivage. Le lac Kaptai s'est formé après la construction d'un barrage et a changé le paysage de la région. De petits villages se trouvent près de l'eau, et des bateaux relient les hameaux dispersés. Les collines vertes s'élèvent directement depuis l'eau, et la brume flotte souvent sur la surface le matin.
Cette mosquée date du 17e siècle et se dresse dans la vieille partie de Dacca. Les murs en brique rouge forment un plan rectangulaire d'environ 40 mètres sur 28. Le bâtiment montre les méthodes de construction de la période moghole, quand Dacca était un centre important. Les coupoles et les arcs suivent des motifs qui étaient courants durant cette époque. Le site se trouve dans une zone densément construite, où les structures anciennes côtoient des maisons modernes. Les visiteurs trouvent ici un exemple de l'architecture religieuse qui s'est maintenue au Bangladesh. Les briques portent les marques des siècles et montrent comment les gens bâtissaient leurs édifices dans cette région.
La mosquée Guthia est un bâtiment à Barisal qui montre l'architecture religieuse du Bangladesh. Ce site est une des destinations pour les photographes qui documentent les mosquées et les constructions contemporaines. La salle de prière est grande et accueille de nombreux fidèles. Un minaret s'élève au-dessus du complexe. La façade présente des éléments du design islamique contemporain avec des lignes épurées et des formes symétriques. Des centaines de personnes se rassemblent devant l'entrée principale les vendredis et jours de fête. La salle de prière reçoit la lumière naturelle par de hautes fenêtres. Les murs ont des motifs géométriques. Quand on franchit les portes, on ressent le silence de l'espace dédié à la prière. Cette mosquée est un exemple d'architecture religieuse contemporaine au Bangladesh.