Le Maroc propose une grande variété de sujets pour les photographes. Les villes comme Marrakech et Casablanca réunissent mosquées, palais et jardins où se mêlent couleurs, motifs géométriques et savoir-faire artisanal. On peut photographier le minaret de 210 mètres de la mosquée Hassan II face à l'océan, les murs bleus de Chefchaouen dans les montagnes du Rif, ou encore les cours et mosaïques du Palais de la Bahia. Le territoire marocain offre des paysages contrastés, depuis les dunes du Sahara jusqu'aux sommets de l'Atlas. Les gorges du Todra dévoilent des parois de calcaire qui se resserrent par endroits, tandis que les cascades d'Ouzoud tombent en trois paliers dans une gorge boisée. Les médinas révèlent l'animation des marchés traditionnels et les ruelles où travaillent les artisans. Sur la côte, plages et forteresses composent d'autres décors à découvrir.
Le Jardin Majorelle s'étend sur plus d'un hectare à Marrakech et abrite environ 300 espèces végétales provenant de cinq continents. Ce jardin a été créé en 1923 par l'artiste français Jacques Majorelle et présente une collection de cactus, palmiers, bambous et autres plantes tropicales. Les bâtiments de ce jardin sont peints dans un bleu cobalt spécifique devenu connu sous le nom de bleu Majorelle. La propriété comprend également un musée d'art et de culture berbères.
La mosquée Hassan II à Casablanca possède un minaret de 210 mètres de hauteur, parmi les structures religieuses les plus hautes au monde. L'espace intérieur accueille 25 000 fidèles, tandis que la cour extérieure peut recevoir davantage de visiteurs. Cette mosquée marocaine s'étend partiellement au-dessus de l'océan Atlantique, combinant des techniques de construction modernes avec l'architecture islamique traditionnelle. La salle de prière présente des ornements artisanaux, des sols en marbre et des boiseries sculptées. L'édifice enrichit les sujets photographiques du Maroc comme exemple contemporain d'architecture islamique en bord de mer.
La médina de Chefchaouen se situe dans les montagnes du Rif et présente un réseau de ruelles étroites bordées de maisons blanchies à la chaux avec des façades bleues caractéristiques. Cette ville du nord du Maroc a été fondée au XVe siècle et conserve son architecture traditionnelle avec des passages couverts, de petites places et des ateliers artisanaux. Les murs bleus s'étendent dans tout le quartier historique, créant une apparence visuelle cohérente. Le relief montagneux façonne la structure urbaine compacte, tandis que les marchés locaux proposent des produits régionaux et de l'artisanat traditionnel.
Aït-ben-Haddou est un village fortifié du XVIIe siècle avec de hauts murs en terre et six kasbahs. Cette agglomération de la province de Ouarzazate présente une architecture marocaine traditionnelle avec des bâtiments en pisé. Le village est installé sur une colline et possède des ruelles étroites entre les habitations. Les kasbahs servent de tours résidentielles pour les familles importantes. Aït-ben-Haddou représente les méthodes de construction berbères du sud du Maroc et est utilisé pour des productions cinématographiques.
Le Palais de la Bahia fut construit au XIXe siècle à Marrakech et constitue un exemple de l'architecture palatiale marocaine de cette époque. Le bâtiment comprend plusieurs cours intérieures avec colonnades, carreaux décoratifs et plafonds sculptés en cèdre. Les salles du palais présentent des stucs et des mosaïques de zelliges colorés qui témoignent des techniques artisanales traditionnelles de l'époque. Le complexe fut érigé pour un grand vizir et s'étend sur un espace comprenant logements, salles de réception et cours paysagées. Ce palais offre des sujets photographiques par ses motifs géométriques, ses arcades et ses éléments de conception traditionnelle marocaine.
La mosquée Koutoubia à Marrakech représente un exemple significatif d'architecture islamique au Maroc. Construite au XIIe siècle, la structure comporte un minaret de 70 mètres qui a servi de modèle pour d'autres mosquées d'Afrique du Nord. La mosquée est entourée de jardins entretenus et présente des éléments caractéristiques de la conception almohade, notamment des ornementations géométriques et des arcs. Pour les photographes, le complexe offre des sujets allant des détails architecturaux au minaret dans le paysage urbain et aux espaces de jardins environnants.
Ce canyon de la province de Tinghir s'étend à travers des formations calcaires qui s'élèvent à environ 300 mètres de hauteur. Les parois rocheuses se resserrent par endroits jusqu'à une largeur d'environ 10 mètres, créant ainsi un passage caractéristique. La lumière changeante au cours de la journée souligne les couleurs et les textures de la pierre. Les gorges du Todra servent de point de départ pour différentes voies d'escalade de niveaux variés. Une rivière traverse le canyon et a façonné les formations géologiques sur de longues périodes. L'environnement offre des perspectives pour photographier les structures rocheuses et la relation entre lumière et formes du paysage.
Ces cascades se trouvent à environ 150 kilomètres au nord-est de Marrakech dans les montagnes de l'Atlas et comptent parmi les plus hautes chutes d'eau du Maroc. L'eau descend en trois cascades successives dans une gorge boisée, avec une hauteur totale d'environ 110 mètres. Les alentours offrent de nombreux points de vue le long des parois rocheuses depuis lesquels photographier les cascades. Au pied des chutes, l'eau se rassemble dans des bassins naturels entourés d'oliviers et d'autres végétaux. Des macaques de Barbarie habitent la zone et sont fréquemment observés près des cascades. Plusieurs sentiers parcourent la vallée et permettent différentes perspectives sur les chutes. Le volume d'eau varie selon la saison, le printemps après les pluies étant particulièrement abondant.
Le Palais El Badi est un ensemble palatial du 16e siècle construit sous le sultan Ahmed al-Mansour. Les ruines révèlent l'ampleur originale du site avec ses vastes cours, ses multiples pavillons et ses grands bassins rectangulaires. Ce palais offre un aperçu de l'architecture saadienne et témoigne de l'importance historique de Marrakech. Les terrasses permettent d'observer la vieille ville et les toits de la médina.
Ce site archéologique conserve les vestiges d'une ville romaine habitée du IIIe siècle av. J.-C. au XIe siècle apr. J.-C. Les ruines présentent des mosaïques bien conservées, des arcs monumentaux et des rangées de colonnes qui donnent un aperçu de l'architecture romaine et de la vie dans la province de Maurétanie Tingitane. Volubilis offre la possibilité de photographier des bâtiments résidentiels anciens, des bains publics et des structures administratives. Sa situation sur un plateau permet des vues étendues sur le paysage environnant et les montagnes du Rif. Ce site témoigne des liens historiques entre l'Afrique du Nord et l'Empire romain.
Le Jardin Secret est un jardin situé dans la médina de Marrakech, qui réunit plusieurs siècles d'histoire sur un terrain de deux hectares. Le jardin se compose de deux parties principales : un jardin islamique présentant des motifs géométriques et des bassins d'eau, et un jardin exotique rassemblant des plantes du monde entier. La propriété comprend des pavillons restaurés avec une architecture mauresque traditionnelle et une tour offrant des vues sur la vieille ville. Les canaux d'eau et systèmes d'irrigation suivent des techniques historiques développées au Maghreb.
Le Dar el Makhzen est un palais royal à Tanger qui abrite des jardins andalous et de l'artisanat marocain. Le bâtiment sert de résidence officielle au roi du Maroc lors de ses visites dans la ville. Le complexe présente une architecture islamique avec des plafonds en bois sculpté, des zellige et des cours intérieures au dessin élaboré. Les jardins contiennent des espèces végétales méditerranéennes et nord-africaines disposées selon les principes de conception andalous traditionnels.
La Plage de Legzira présente des falaises de pierre rouge et des arches naturelles le long de la côte atlantique. La formation côtière s'est développée au cours de siècles d'érosion par le vent et les vagues océaniques. Les couches de grès rouge et ocre créent des structures géologiques s'étendant sur plusieurs centaines de mètres. La plage se situe à environ 120 kilomètres au sud d'Agadir et offre un accès aux formations rocheuses à marée basse. Les arches de pierre naturelles continuent de se transformer sous l'effet de l'érosion constante. Le paysage combine plage de sable et falaises rouges caractéristiques de la région. Cette zone permet la documentation photographique de la côte atlantique marocaine et de ses particularités géologiques.
Les jardins de la Ménara constituent un complexe de jardins du XIIe siècle à Marrakech comprenant un pavillon historique et un grand bassin d'eau. Ce lieu sert depuis des siècles à l'irrigation et à la détente. Le pavillon au toit en forme de pyramide a été reconstruit au XVIe siècle et offre une vue sur le bassin et les montagnes de l'Atlas en arrière-plan. Les jardins s'étendent sur environ 100 hectares et contiennent des oliveraies cultivées selon des méthodes traditionnelles.
La Vallée du Dadès s'étend dans les contreforts du Haut Atlas et révèle un paysage de forteresses en terre, de palmeraies et de formations rocheuses rouges. Cette vallée porte le surnom de 'Terre des Mille Kasbahs' en raison des nombreuses constructions berbères traditionnelles en pisé qui s'élèvent le long des berges du fleuve. La route qui traverse la vallée mène à plusieurs points de vue depuis lesquels les photographes peuvent documenter les champs en terrasses, les villages berbères et les caractéristiques géologiques distinctives du terrain environnant.
La Médina de Fès est un site du patrimoine mondial de l'UNESCO et forme l'une des plus grandes zones urbaines sans voiture au monde. Cette vieille ville historique présente une architecture islamique médiévale avec des mosquées, des écoles coraniques et des caravansérails datant du 9ème siècle. Les ruelles étroites serpentent à travers des souks traditionnels où les artisans travaillent le cuir, le métal et les textiles selon des méthodes transmises depuis des siècles. Les tanneries de Chouara emploient encore des techniques médiévales. La médina comprend des complexes religieux comme l'Université Al-Qarawiyyin de 859 et la Medersa Bou Inania avec ses zelliges et ses stucs sculptés.
L'Erg Chebbi est un champ de dunes dans le Sahara marocain, caractérisé par un sable de couleur rouge doré. Ces dunes atteignent des hauteurs allant jusqu'à 150 mètres et s'étendent sur environ 28 kilomètres dans une direction nord-sud. La couleur du sable change selon l'angle de la lumière au lever et au coucher du soleil. Situé près de la frontière algérienne, l'endroit offre aux photographes différentes perspectives sur le paysage désertique. Les formations dunaires se modifient en continu sous l'effet du vent, créant des motifs changeants à la surface du sable.
Cette porte d'entrée bleue de Fès marque l'un des accès à la médina historique. La porte présente le bleu caractéristique fréquemment utilisé comme décoration dans l'architecture marocaine. Elle illustre l'artisanat traditionnel des quartiers anciens de Fès et fournit un exemple de la palette de couleurs employée dans les bâtiments islamiques du Maroc. Cette porte complète les sujets photographiques présents dans les villes marocaines, où l'architecture islamique avec mosquées, palais et marchés façonne le paysage urbain.
Les Tombeaux Saadiens à Marrakech sont une nécropole royale du 16e siècle abritant environ soixante membres de la dynastie saadienne. Ce site funéraire présente des carreaux de mosaïque travaillés, des sculptures en stuc détaillées et des décorations en bois de cèdre. Les tombeaux se situent dans un jardin clos comprenant deux mausolées principaux. Le complexe est resté caché pendant plus de 200 ans avant sa redécouverte en 1917. Pour les photographes, les motifs géométriques des carreaux zellige, les jeux d'ombre et de lumière dans les chambres funéraires et la symétrie architecturale des structures offrent des sujets intéressants pour documenter l'architecture funéraire islamique au Maroc.
Les montagnes de l'Atlas s'élèvent sur une grande partie du Maroc, formant une chaîne qui s'étend de la côte atlantique à la frontière algérienne. Ces massifs comprennent le Haut Atlas avec des sommets dépassant 4 000 mètres, le Moyen Atlas avec ses forêts de cèdres et ses villages berbères, ainsi que l'Anti-Atlas au sud. Les paysages variés vont des hauteurs enneigées en hiver aux vallées verdoyantes avec des champs en terrasses, où les villages de montagne traditionnels bâtis en pisé s'intègrent dans les versants. Les sentiers traversent des gorges et des cols, tandis que les différentes altitudes révèlent des zones de végétation distinctes.
La Grotte d'Hercule près de Tanger est une cavité naturelle située en bord de mer, associée à la mythologie romaine et aux traditions locales. Cette grotte a été modifiée au cours des périodes préhistoriques et historiques, révélant des traces d'occupation humaine sur plusieurs millénaires. L'ouverture orientée vers l'océan Atlantique présente une forme caractéristique rappelant le contour du continent africain. Les recherches archéologiques ont mis en évidence des activités d'extraction de pierre et des vestiges d'habitation provenant de différentes époques. Le site combine des formations géologiques avec des couches d'histoire humaine et offre une vue sur le paysage côtier et l'océan.
La médina d'Essaouira occupe une position côtière sur l'Atlantique marocain et se trouve protégée par des fortifications du 18e siècle. Les maisons blanchies à la chaux s'alignent le long de rues étroites menant au port actif. La ville a servi de comptoir commercial entre l'Europe et l'Afrique. Son architecture combine des traditions constructives portugaises, françaises et maghrébines. Des artisans maintiennent des ateliers à l'intérieur des remparts, produisant des objets artisanaux traditionnels. Le tracé des rues suit un plan rectangulaire conçu pour canaliser les brises marines à travers la ville. La Skala du Port présente des canons orientés vers l'océan.
Le mausolée Mohammed V abrite les tombes du roi Mohammed V et de ses deux fils, le roi Hassan II et le prince Abdallah. Achevé en 1971, cet édifice combine l'architecture marocaine traditionnelle avec des éléments de design moderne. Le dôme en tuiles vertes s'élève au-dessus des murs en marbre blanc, tandis que l'intérieur présente des mosaïques, des stucs et des sculptures sur bois. Situé en face de la tour Hassan, ce mausolée forme un ensemble architectural dans la capitale marocaine et témoigne du savoir-faire des artisans locaux.
Ce musée occupe un ancien palais du sultan et présente une collection d'artefacts régionaux issus de l'histoire de Tanger et du nord du Maroc. Les expositions comprennent des trouvailles archéologiques, des textiles traditionnels, des céramiques et des armes. Le bâtiment lui-même, un palais restauré du XVIIe siècle situé dans la Kasbah, offre un aperçu de l'architecture mauresque avec ses cours intérieures, ses plafonds en bois sculpté et ses travaux de zellige. Le jardin sur le toit propose une vue sur le détroit de Gibraltar et la vieille ville de Tanger.
Cette fortification à Rabat date du XIIe siècle et fut construite sous le règne almohade. La kasbah des Oudayas se dresse sur une falaise dominant le confluent du Bou Regreg et l'océan Atlantique, offrant un point de vue sur les eaux. Ses murailles enferment un quartier résidentiel aux ruelles étroites, aux maisons blanchies à la chaux et peintes en bleu, ainsi que le jardin andalou du XXe siècle. La porte d'entrée, Bab Oudaia, présente l'architecture almohade typique avec son arc en fer à cheval et sa décoration. Cette kasbah illustre l'architecture militaire marocaine médiévale et documente l'évolution historique de la capitale.
Le Musée Dar Si Saïd occupe un ancien palais du XIXe siècle et présente l'art et l'artisanat marocains. Les collections comprennent des sculptures sur bois, des céramiques, des tapis, des bijoux et des armes traditionnelles provenant de diverses régions du Maroc. Les salles du musée conservent leur décoration d'origine avec plafonds en bois peint et stucs. La cour intérieure avec ses colonnes et ses mosaïques illustre l'architecture palatiale marocaine traditionnelle. Ce musée offre aux photographes des sujets de détails artisanaux, d'éléments architecturaux et d'objets ethnographiques qui documentent la diversité culturelle du pays.
Le Phare de Rabat est un phare historique situé sur la côte marocaine qui offre aux visiteurs une vue étendue sur l'océan Atlantique et les quartiers environnants de la capitale. En tant que construction fonctionnelle, ce phare sert la navigation maritime depuis son édification et marque l'entrée du port de Rabat. Sa position en bord de mer fait de ce lieu un point d'intérêt pour les photographes qui souhaitent capturer des sujets maritimes, des paysages côtiers et des panoramas urbains. Le phare témoigne de l'histoire nautique de la région et s'inscrit dans l'architecture côtière marocaine variée, qui comprend forteresses et installations portuaires modernes.
Le Palais Royal de Rabat sert de résidence officielle du Roi du Maroc et se dresse au cœur de la capitale. Le complexe présente une architecture marocaine traditionnelle avec des portes ornées, des mosaïques et des motifs géométriques. Les vastes terrains comprennent plusieurs bâtiments, des espaces cérémoniels et des jardins entretenus. La façade principale richement décorée comporte des portes massives en bronze et des toits en tuiles vertes qui contrastent avec les murs blancs entourant l'enceinte. Ce palais fonctionne comme centre administratif et lieu de réceptions officielles d'État, tandis que certaines zones restent réservées à la famille royale. Le site combine une architecture gouvernementale fonctionnelle avec des techniques de construction islamiques traditionnelles, reflétant l'importance politique et culturelle de Rabat comme capitale de la nation.
Les hautes dunes de sable du Désert de Merzouga forment la porte d'entrée du Sahara au Maroc. Ces dunes atteignent des hauteurs de plus de 150 mètres et s'étendent sur plusieurs kilomètres. La zone sert de point de départ aux caravanes de chameaux qui entreprennent des circuits désertiques de plusieurs jours à travers le terrain sablonneux. Les formations dunaires changent avec les vents et créent différents reliefs. Après la tombée de la nuit, le désert offre des cieux nocturnes dégagés sans pollution lumineuse, ce qui rend le site propice aux nuitées dans des campements berbères traditionnels à la belle étoile. Les dunes affichent des tonalités différentes allant du jaune doré au rouge profond selon les moments de la journée.
Les remparts rouges de Marrakech du XIIe siècle s'étendent sur 19 kilomètres autour de la médina, formant une enceinte défensive historique autour de la vieille ville. Ces fortifications massives en pisé façonnent le paysage urbain et témoignent de l'architecture militaire médiévale de la dynastie almohade. Les murailles comportent plusieurs portes monumentales qui contrôlaient autrefois l'accès à la ville et constituent aujourd'hui des repères importants.
Ce phare se dresse sur les falaises à la pointe nord-ouest de l'Afrique et marque le point où la Mer Méditerranée rencontre l'Océan Atlantique. L'emplacement exposé offre des vues sur les deux étendues d'eau ainsi que sur la côte espagnole au loin. Construit à la fin du XIXe siècle, l'édifice a servi à sécuriser la navigation dans ce détroit important. Le littoral autour du cap présente des parois rocheuses abruptes façonnées par la mer. Le site associe l'histoire maritime aux caractéristiques géologiques de la région entre deux continents.
Le Mellah de Fès a été établi au XVe siècle comme quartier juif près du palais royal. Ce quartier historique présente une architecture caractéristique avec des ruelles étroites, des balcons en bois et des bâtiments à plusieurs étages. Les synagogues et l'ancien cimetière juif témoignent de siècles de présence de la communauté juive à Fès. Le quartier offre aux photographes des occasions de capturer l'architecture urbaine traditionnelle marocaine et les traces de la coexistence multiculturelle.